Le chemin de l’école me mena jusqu’aux grandes écoles d’ingénieur et le départ de ma Gironde natale pour aller découvrir la Loire-Atlantique et l’école Centrale – en passant par la case classes préparatoires avec bonus redoublement.
Ce fut dès la première année de prépa que l’évidence de trouver un métier en lien avec l’écologie et la protection du vivant émergea. La difficulté toute nouvelle du niveau scolaire ainsi que la maladie avaient créé la nécessité de trouver un sens à ces efforts.
L’objectif de me mettre au service de l’écologie se solidifia ces années là et je visais le domaine de l’énergétique.
Une fois mon diplôme en poche, je me retrouvais bien dépourvu par rapport au prochain embranchement.
La perspective de travailler dans les énergies renouvelables ne me paraissait plus si désirable et après des mois de lecture, je candidatais pour une thèse sur le lien entre l’écologie et l’économie avec l’envie de questionner : comment et qu’est ce que cela signifie de vivre de manière durable sur cette planète.